Injection de stéroïdes anabolisants : effets et risques

Injection de stéroïdes anabolisants : effets et risques

L’accroissement du taux d’hormones androgènes induit par une cure de Dianabol peut provoquer une perte de cheveux menant à une calvitie précoce. Le radical méthyle en 17-α, présent dans le Dianabol, à https://biogenxtestosteronebooster.net/ une capacité à traverser le foie sans se dégrader, ce qui facilite son assimilation par l’organisme. Cela se fait au prix de lésions hépatiques graves, qui peuvent causer des dommages irréversibles.

  • Les stéroïdes anaboliques androgènes (AAS) ont des effets très importants sur le corps de l’homme et nombre de ces effets sont bénéfiques sur les performances athlétiques.
  • Par ailleurs, les utilisateurs de stéroïdes semblent plus susceptibles de consommer de la marijuana ou d’autres substances illicites, telles que la cocaïne, les stimulants, la MDMA et la psilocybine.
  • Une fois liée à ces récepteurs, le corps va augmenter la production de synthèse de protéines, ce qui va venir activer la croissance musculaire.
  • Le processus est relativement simple, les stéroïdes vont dynamiser le métabolisme et ainsi pousser le développement des tissus musculaires et estomper l’inflammation pour performer davantage.
  • Le dérèglement hormonal que cause la prise de stéroïde anabolisant peut donner des envies suicidaires à l’utilisateur ainsi que d’éveiller d’autres troubles psychologiques potentiellement dangereux.

La liste publiée par l’AMA n’est toutefois pas exhaustive puisque les interdictions sont étendues aux molécules de structures chimiques ou possédant des effets biologiques similaires. Ces consommateurs qui utilisent des doses de plusieurs fois supérieures aux secrétions naturelles de testostérone vont forcément induire des modifications rapides de la fonction de reproduction. Suite à cette présentation, nous retrouvons un plan d’utilisation sur 18 semaines, qui conseille par exemple en semaine 1 jusqu’en semaine 7, de prendre 20 mg de Dianabol + 200 mg/semaine de Deca-durabolin, + 7000 unités internationales de HCG + 25 mg/jour de Nolvadex. Ceci conduit à la 17ème et à la 18ème semaine à 7000 unités internationales par semaine d’HCG, en étant passé par les semaines précédentes par 300 mg/semaine de Primobolan + 150 mg/semaine de Winstrol.

Prendre systématiquement une thérapie post-cycle (PCT)

Une pratique dangereuse, comme l’indique une étude récente, parue dans la revue Performance Enhancement & Health (source 1). Plus connus sous le nom générique de « stéroïdes », ces produits augmentent la masse musculaire. Leur usage prolongé peut entraîner des troubles psychiques, de l’agressivité, ainsi que des problèmes graves du cœur et du foie.

  • Ceci conduit à la 17ème et à la 18ème semaine à 7000 unités internationales par semaine d’HCG, en étant passé par les semaines précédentes par 300 mg/semaine de Primobolan + 150 mg/semaine de Winstrol.
  • Ceux qui pratiquent quotidiennement y ont donc recours pour être en mesure de tenir la cadence, séance après séance.
  • Très populaires tout au long du XXe siècle, les stéroïdes anabolisants n’ont été interdits qu’à l’orée des années 90’, quand les médecins ont commencé à constater les dégâts qu’ils pouvaient causer à l’organisme.
  • Il est très apprécié des culturistes pour ses effets sur l’oxygénation du corps permettant une meilleure endurance lors d’entrainements intenses.
  • Les effets anaboliques de la testostérone favorisent la croissance du corps, comme l’augmentation de la synthèse des protéines musculaires menant à l’hypertrophie du muscle squelettique, c’est l’effet principal recherché par ceux qui consomment des stéroïdes.

Avant de prendre un stéroide, il est donc important de se renseigner au maximum sur la posologie (les dosages) recommandée. De la même manière, la grande majorité des stéroides ne peuvent être pris pendant plus de quelques semaines. Et une pause (plus ou moins longue) est absolument nécessaire pour permettre à l’organisme de se rétablir.

Les dangers des stéroïdes anabolisants pour la femme

Or, une nouvelle étude a mis en évidence un lien étroit entre des antécédents de consommation de stéroïdes anabolisants et des tendances psychopathiques, telles que la prise de risques et l’agressivité. Les anabolisants, ou plutôt les stéroïdes androgéniques anabolisants ou SAA, sont des substances fabriquées proches de l’hormone sexuelle mâle, la testostérone secrétée dans les testicules. Ils ont été découverts dans les années 1930 et ont très vite été utilisés pour améliorer les performances des athlètes. À l’instar de leurs alternatives naturelles et légales comme Winsol, Clenbutrol, D-Bal ou encore Testo-Max, la grande majorité des stéroïdes anabolisants s’accompagnent d’effets secondaires indésirables, voire dangereux pour la santé.

Utilisé à ses débuts par Arnold Schwarzenegger pour améliorer sa capacité à prendre de la masse musculaire sur le long terme, le Primoloban est principalement utilisé par les athlètes et culturistes qui planifient des entrainements qui s’écoulent sur plusieurs mois. Les effets du Trenbolone sont si puissant qu’il est rapidement utilisé par les culturistes pour augmenter la masse musculaire mais aussi l’endurance et la récupération physique. Cette dérive et les risques pour la santé que la prise de Trenbolone provoque fera que le stéroïde deviendra interdit au début des années 90.

Les stéroïdes anabolisants sont-ils addictifs ?

Généralement, les sportifs intègrent le Dianabol au sein d’une cure de 4 à 6 semaines, suivi d’une pause de la même durée. Dans le cadre de la pratique d’une activité physique à haute intensité, avec la nécessité de performer, le Dianabol est un produit qui attire. Néanmoins, il reste très dangereux pour l’intégrité physique de ses utilisateurs.

Dans un travail paru en 2020, des chercheurs hollandais ont analysé un groupe de 100 sujets abusant de stéroïdes. Les stéroïdes anabolisants sont extrêmement dangereux lorsqu’ils sont consommés sans prescription médicale, à court comme à long terme, sur le corps et sur l’esprit. Certaines personnes tentent également de prendre d’autres médicaments, qui sont susceptibles de diminuer la liste de ces effets secondaires, comme les androgènes. Il faut bien comprendre que ce genre de pratique fait entrer le sportif dans un cercle vicieux où chaque médicament est administré dans le but de contrer l’autre, or tous les médicaments sont pourvoyeurs d’effets secondaires.

Ce processus est appelé aromatisation et l’enzyme responsable de ce phénomène est connue sous le nom d’aromatase. Les stéroïdes alkylés 17-alpha sont toujours toxiques pour le foie et cette toxicité dépend de la dose administrée. L’inhibition de la testostérone entraîne une réduction de la taille des testicules, une perte de libido, des sautes d’humeur et d’autres symptômes associés à de faibles niveaux de testostérone. Ces problèmes psychiques peuvent malheureusement s’installer dans la durée, même après l’arrêt de la consommation.

Les agents masquants, également interdits par la lutte contre le dopage

La quantité d’hormone produite est approximativement de 5 à 7 mg/jour et varie durant toute la vie d’une personne. Mais on peut atteindre d’excellents résultats naturellement alors certains se font suspecter à tort, l’amalgame est vite arrivé. Dans l’ensemble, près d’un utilisateur de stéroïdes sur quatre dans notre étude avait une dépendance modérée à sévère aux stéroïdes, ajoute Kyle T. Ganson.

Comment calculer son RM pour ses séances de musculation ?

Toutefois, tous les stéroïdes androgéniques anabolisants (SAA) ne sont pas légaux. Aujourd’hui, 3 pays (la Russie, la Thaïlande et le Mexique) le produisent encore sous un nom différent ce qui fait qu’il est parfois encore utilisé en toute illégalité, malgré les risques majeurs qu’entraine sa consommation. De fait, les agences anti-dopage mènent une lutte sans relâche contre ce stéroïde, avec des contrôles fréquents lors des compétitions sportives. Toutefois, tous ces effets viennent provoquer des dégâts irréversibles, voire mortels sur la personne se dopant.

Dans une étude récente menées aux Etats-Unis, 25% des utilisateurs de stéroïdes partageaient leurs aiguilles avec d’autres adeptes de culturisme. Un des effets associés à la prise de Dianabol est la rétention d’eau, du fait de l’accumulation de graisse et d’eau sous la peau. La methandienone réduit la production de globules rouges et entraîne une baisse du processus de métabolisme cellulaire (communément désigne par les termes de respiration cellulaire).

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